Le GUTIB s’exprime sur la proportion des Bruxellois qui empruntent les transports en commun pour aller travailler (voir l’encadré)

page,SU_QUOTIDIENS,20160613,BRUXELLES,1,4

1 Commentaire

    • Edgard F sur 2016-10-04 à 22:59

    Parmi d’autres, une explication au peu d’intérêt pour le transport collectif : l’importance des pertes de temps liées aux ruptures de charge. On peut envisager ce type de fonctionnement à condition que les fréquences sur chaque axe soient très élevées et surtout que la qualité des correspondances soit optimale. Ce n’est pas souvent le cas. Les temps de parcours sont trop souvent très élevés. Des comparaisons sur des trajets effectués régulièrement sont particulièrement édifiantes : souvent l’utilisation du transport en commun prend deux fois plus de temps que le recours à la voiture et encore s’agit-il pourtant d’axes privilégiés. Les voyageurs savent encore comparer.

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